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"Notre devoir est de soutenir avec beaucoup d'ardeur ce peuple et ce pays qui Ugg Classic Mini prépare sa transition vers la démocratie", a-t-il plaidé, vantant "le courage, la sagesse et l'indépendance d'esprit" du Premier ministre.
Il a par ailleurs indiqué avoir discuté avec M. Essebsi de "questions politiques, techniques, juridiques et institutionnelles" lors d'un entretien au Palais du gouvernement, en marge d'un séjour privé UGG Classic Paisly à Tunis.
L'ancien ministre socialiste qui effectue sa toute première visite en Tunisie depuis plus de 20 ans, a rappelé avoir empêché l'ancien président dictateur de s'exprimer devant l'Assemblée nationale lors d'un visite en France en 1998, lorsqu'il en était président de la Commission des Affaires étrangères.
"Je ne souhaitais pas, même involontairement, cautionner le régime de Ben Ali, ni de près ni de loin", a-t-il dit.
"Je veux exprimer ma satisfaction de constater que la Justice prend très au sérieux ce dossier et fait en sorte que, y compris début août, l'instruction se poursuive", a indiqué M. Bapt à l'AFP.
Le Parquet de Paris a décidé d'élargir l'enquête sur l'affaire du Médiator, le médicament des laboratoires Servier, à l'escroquerie au préjudice des caisses de Sécurité sociale et des mutuelles. Jusqu'ici les les investigations menées par trois juges parisiens concernaient deux informations judiciaires ouvertes pour "tromperie aggravée" et "homicides et blessures involontaires".
M. Bapt a rappelé qu'au cours de "l'histoire du Médiator tout s'est déroulé dans une grande confusion et une grande opacité", notamment pour l'attribution régulière de son indication pour le diabète.
"A aucun moment (...) on n'a pu trouvé un compte-rendu de commission Ugg Classic Short pour une autorisation de mise sur le marché qui valide cette indication pour le diabète", a-t-il rappelé.
Cependant, le député a souligné qu'en dehors de la question de la perte financière pour les caisses d'assurance maladie, "ce qui est le plus grave, c'est que les laboratoires Servier aient pu pendant des années masquer les effets cardio-vasculaires graves de leur produit pour pouvoir continuer à le commercialiser."